Ghouls n’ ghosts n’ goblins of the Quest of The Gargoyle In Etruria.

Du pixel, du pixel, du pixel ART oh ouiiiiiiiiiiiii !!!

Aucun effort de registre de langage : je parlerai cru dans cet article. Parce que les tomates cuites…

Bref, une série reconnue méconnue mais connue… de moi en tout cas ~ c’est l’histoire d’un chevalier qui doit *attention langage cru* casser la gueule à une gargouille *fin du langage cru* sur des vieilles consoles dont on n’a pas oublié le nom aujourd’hui. Ce jeu était un jeu de plateforme et blablabla…En fait, l’intérêt réside dans cette fameuse méchante GARGOUILLE, Firebrand, qui doit, dans un « nouveau » jeu sur game boy, intitulé Gargoyle’s Quest : ghosts n’ goblins, sauver le monde où elle évolue ! Et oui, on dirige donc…le méchant de cette série.

Bon passons sur la version game boy, qui certes est intéressante, mais que je n’ai pas réussi à terminer parce qu’elle a été développé par des amateurs de blocs et qu’il est donc de ce fait assez ardu de terminer un niveau lorsque l’on meurt en touchant le bloc de pixels juste à côté du bloc avec les piquants du mur d’en face. Ahhhhh technologie d’antan :D

LE jeu en question possède une suite, si brillante, si belle, si merveilleuse,… qu’elle mérite bien qu’on boive une bière en son honneur : Gargoyle’s Quest II : the Demon Darkness ~ bwaaaaaaaaaah.

Pour commencer, vous m’excuserez d’être *légèrement* à la bourre pour Halloween, car le jeu s’y prêtait pourtant à merveille. Pour continuer, petit descriptif ~

Tout commence par un petit récapitulatif de l’histoire (assez banale en soi : le démon des démons veut botter le cul des démons un peu moins méchants à qui le chevalier des premiers ghosts n’ goblins devait déjà botter le cul…bref une représentation vidéoludique des différents conflits humains à travers les siècles…Quoi, moi, j’extrapole, encore ? Non…).

Le roi lui dit gentiment que s’il veut obtenir le sceptre Fingernail (comprendre : ongle xD) il devra d’abord aller passer un test en salle d’entraînement : mais seulement voilà, le temps qu’il aille chercher la barrique de vin démoniaque qui lui servira de trophée, une lumière noire arrive et fout la merde. Zut. Donc on se balade directement dans un nouveau petit niveau, en 2D, scrolling horizontal, à cracher du feu sur des fantômes et à vaincre un boss pour obtenir un super pouvoir, qui nous fera sauter plus haut.

vous remarquez la barre de durée du "vol", qui va changer de teinte selon les couleurs du niveau (si, si !). C'est un détail peut-être, mais sur NES, l'importance que ça donne à l'ambiance graphique en est toute chamboulée.

Globalement, le jeu se déroule toujours de la même manière : on va voir un nouveau roi, on doit le sauver de la lumière noire qui va un poil plus vite que nous, on va se balader dans un niveau (en plateforme et en 2D, Mario-like mais sans les champignons à la con) on tue un boss, et finalement on obtient le pouvoir de sauter plus haut, voler plus longtemps, ou encore une nouvelle arme qui permet de faire de nouvelles choses comme… (chuuuut spoiler).

Plein vol ! A gauche, des piquants, à droite, des pas beaux. Ooooops !!! (d'autant plus que vous remarquerez la barre de "vol" (sous WING LV2) qui est totalement vide :o

L’intérêt réside dans le fait, comme évoqué plus haut, que Firebrand peut voler, ce qui est assez original pour une gargouille, vous ne trouvez pas ? Mais pour l’aspect plateforme, cela offre un univers tout à fait nouveau dans le genre, et presque de la fraîcheur qui fait du bien. Sans parler des musiques, sur lesquelles Sato s’est complètement lâché. Les thèmes restent assez bien en mémoire, et sont beaux, malgré les possibilités infinies (sic) qu'offre la console au niveau des timbres.

Un des plus gros vilains pas-beaux à qui il faudra botter l'fion.

Je m’arrête là, parce que je pourrais encore en parler des heures, mais sachez qu’il existe une suite incroyable sur SuperNes, et qui s’intitule Demon’s Crest. Rien ne vaut le sang de Gargouille. Krom !

Demon's Crest. En espérant vous avoir donné envie de (re)découvrir les gargouilles !